Nom : Alvarez
Prénom : Chico
Surnom : /
Âge : 30 ans
Genre : Mâle
Race : Terrien
Votre Camps : Mercenaire

Monde : La Terre… Mais pas la Terre que tout le monde connait. Une terre alternative… Il y en a plusieurs ainsi et elles se ressemblent toutes, à quelques détails près… Les saisons sont les mêmes, les continents sont similaires… Il n’y a que les noms qui sont différents. Mais les gens, peu importe de quel terre ils viennent, ont les mêmes espoirs, les mêmes envies, les même buts que ce soit l’argent, la gloire ou le bonheur.


Taille : 1m80
Poids : 73 kg
Couleur de Peau : Bronzé
Couleur des yeux : Brun
Couleur des cheveux : Noir
Signes particuliers : Ai perdu l’usage de mon œil gauche ce qui me laisse une paupière légèrement tombante et une mauvaise synchronisation des mouvements des deux yeux.


Il y a des choses dont je n’aime pas parler, mais je peux vous dire une chose : mon sujet préféré, c’est moi ! Et c’est probablement un des mes nombreux défauts. Je trouve un malin plaisir à énerver autrui, tel un gamin que je suis encore, au fond. C’est une chose que je fais dés que j’en ai l’occasion… Je ne suis pas vraiment du genre sérieux… A noter aussi que je ne passe pas trop de temps à réfléchir, préférant l’action. Mais là ne sont que des défauts… Niveau qualités, j’ai le sens de l’honneur et c’est probablement ça la meilleure d’entre toutes…

Sexualité : Hétéro


Je suis né à New York… New York fait penser au rêve américain, à la gloire, aux buildings et j’en passe. Mais, moi, le rêve américain, je ne l’ai jamais vu… C’est à peine si je l’ai rêvé. L’argent, mes parents n’en ont jamais eu. C’étaient des émigrés portoricains à la recherche d’un endroit où vivre… Et quoi de mieux que les quartiers pauvres de New York ? C’est, en tout cas, là que j’ai grandi et là que j’ai appris à vivre.
A 17 ans à peine, j’ai eu mon premier boulot. Mon premier salaire… Si on pouvait appeler ça ainsi. J’avais un boss et je vendais de la drogue pour lui… De l’héroïne majoritairement. Ca rapportait bien, mais ce n’était pas sans risque. Règlements de compte, meurtres, c’était mon quotidien. Dans ce milieu, rester en vie est la seule gloire qu’on a… Rester discret, éviter les flics, c’était la règle.
A 30 ans, j’avais déjà un sacré palmarès de meurtres à mon actif… Mais le dernier en date me restait sur la conscience. Le gars en question s’appelait Andrew. Je devais aller le tuer pour une histoire de drogue non payée… La routine… Mais, juste avant de lui tirer dessus il a commencé à me déblatérer une histoire de fin du monde… Ou plutôt de disparition du monde. C’était son cousin qui lui avait dit… Je pensais que c’était de peur qu’il avait dit ça, mais il avait l’air d’y croire. Il me parla d’une navette, d’une échappatoire. Il me donna même une date et une heure… Toute cette histoire ne m’empêcha pas de faire mon travail et d’en finir avec sa pauvre vie.
Le jour J, la date fatidique, arriva. J’avais déjà mon plan tout fait… Aller voir si cette navette existait vraiment… Arrivé sur le lieu dit à bord de ma superbe voiture rouge volée, je n’en cru pas mes yeux… Cette navette était bien là et peu de gens sur la terre le savait. Elle était entourée de diverses personnes dont des gars qui semblaient vachement intelligents. Des scientifiques, probablement.
Quand je m’approchai du pied de la navette, on ne prit pas longtemps à me remarquer. Comme s’ils avaient déjà remarqué que je n’avais pas été invité à leur petite fête privée. Mais ils se calmèrent vite et discutèrent ensemble sans se préoccuper de moi. Après une longue discussion ils me laissèrent rentrer dans leur navette…
Rien ne m’empêchait d’y aller. Rien ne me retenait sur cette terre qui semblait de toute façon condamnée. J’aurais de toute façon été pris par les flics un jour où l’autre. C’était le destin de tout dealer… Et passer sa vie dans un trou à rat n’était pas la plus épanouissante des vies… De toute façon je n’avais aucune attache… Aucun ami… Enfin pas dans le sens où on l’entend...
La navette décolla, s’engouffra dans l’espace et je n’avais plus qu’une seule question… Qu’allais-je faire dans cette nouvelle vie qui s’offrait à moi ?